A l'heure ou Ségolène Royal doit faire face à "la chaude affection littéraire" qui l'entoure, il y en a qui s'en mordent les doigts.
Le dernier en date n'est autre que...Eric Besson (si,si!) qui déclare :"J'ai peut être été trop dur avec Ségolène (...) Elle n'était pas capable d'être président de la République. Mais elle a été courageuse et tenace. A contrario, j'ai trop ménagé François Hollande. Avec le recul, je considère que sa responsabilité est immense"
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vendredi 31 août 2007
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2 commentaires:
Il a des regrets.
il n'en reste pas moins traitre, non ?
à Juan: je n'ai jamais dit qu'il fallait le pardonner, parce qu'en attendant il a bien quittté le PS pour rejoindre le gouvernement actuel. Mais ça fait quand même sourire.
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